Dans un récent article, je mʼétonnais que la municipalité de St Cirq Lapopie décrète, ...
... à travers son bulletin municipal, sans concertation avec la population, quʼelle était favorable à la voie verte et quʼelle rejoignait le “collectif pour la voie verte en vallée du Lot”.
La lecture du “Lot en Action” de février mʼa conforté dans mon interrogation. Je lis : pourquoi une partie de nos grands élus sʼobstine-t-elle à promouvoir la voie verte ? ...
Le Lot dispose déjà dʼun nombre considérable de chemins campagnards et si Voie verte touristique il faut, des tracés alternatifs existent ...
Je constate en effet que ce projet, même sʼil fait débat, est loin de faire lʼunanimité, notamment chez bon nombre dʼélus locaux qui ont fait part de leurs doutes sur la pertinence dʼune telle gabegie.
Je constate également, à travers la lecture du “Contact Lotois” que la voie verte nʼapparaît pas comme une priorité dans les projets du département.
Dans ces conditions, faut-il engager des sommes colossales( 25, 30 millions dʼeuros ?) pour un tel projet touristique ?
Je pense enfin que par respect pour les citoyens de ce département, contributeurs financiers “obligés”, on pourrait instaurer un débat qui prendrait également en compte lʼautre projet, celui qui prône la réouverture de la ligne. Quel bel exercice démocratique ce serait !
Un autre sujet a été traité dans le LEA n° 97, celui relatif à lʼinstallation de compteurs électriques dits “intelligents”, les fameux “Linky”.
Avant que notre département ne les accueille les bras ouverts, exerçons notre pouvoir de vigilance citoyenne en exigeant de plus amples renseignements.
Chatʼmʼva pas
Véritable "poil à gratter" sur les questions départementales, mais aussi nationales et internationales, cet organe de presse, papier et web, est l'objet de censure inadmissible. La bibliothèque de Cahors ne le propose pas à ses lecteurs sur ordre "politique" du Maire de Cahors d'obédience socialiste. Censure quand tu nous tiens !!!
RépondreSupprimerhttp://www.lelotenaction.org/
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire » a été attribué à tort à Voltaire.
RépondreSupprimerMais alors, à qui la faute ? Pas à Rousseau, ni à Voltaire lui-même, comme dans la chanson de Gavroche, mais à l’Anglaise Evelyn Beatrice Hall qui, dans un livre, The Friends of Voltaire, publié en 1906 sous le pseudonyme de S. G. Tallentyre, utilisa la célèbre formule pour résumer la pensée voltairienne. « « I disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it », was his attitude now », écrit-elle. Elle confirmera par la suite que c’était sa propre expression et qu’elle n’aurait pas dû être mise entre guillemets. Qu’elle soit due à la maladresse de l’auteur ou de l’éditeur, la citation a été rapidement traduite en français avant de connaître le succès que l’on sait.
Si la devise n’est pas de Voltaire, il n’en demeure pas moins qu’elle illustre sa philosophie, telle qu’elle paraît notamment dans ses Questions sur l’Encyclopédie : « J’aimais l’auteur du livre de l’Esprit (Helvétius). Cet homme valait mieux que tous ses ennemis ensemble ; mais je n’ai jamais approuvé ni les erreurs de son livre, ni les vérités triviales qu’il débite avec emphase. J’ai pris son parti hautement, quand des hommes absurdes l’ont condamné pour ces vérités mêmes. »
Les infos que j'ai glané à propos des compteurs "linky": ce sont des nouveaux contrats qu'il serait prudent de refuser car ils nous engageraient sur des tarifs évolutifs que nous ne pourrions plus refuser...il faut être juriste pour lire entre les lignes....car il ne faut pas se leurrer, une démarche commerciale de telle ampleur pour des compteurs "intelligents" ne sera surement pas en notre faveur !!!! qu'on se le dise !
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